Le souvenir du plaisir de prendre des photos remonte jusque dans les années ’70 l’argentique était reine, la mise au point manuelle, la couleur une option, le grain normal. Il fallait attendre le développement et retour de labo, à moins de devenir chimiste, lire des livres de théorie, comprendre les filtres, profondeurs des champs, construire son cadre et sa photo. La pelloche avait 36 poses max, fallait pas gâcher.
Me vient de là, le goût pour les objectifs vintage avec les jolies tâches de bokeh ? Est-ce seulement ma nature d’esthète ? Certainement le deux. Mon envie de produire de beaux clichés de jolies femmes, beaux vélos, paysages, …. mettre en valeur les personnes que je prend en photo.
Au final cela n’a que très peu d’importance d’où vient le goût pour la photographie avec les anciens objectifs, et avec des cailloux récents, ce qui compte est le résultat, l’histoire sur la photo.
Que l’image ait une touche vintage est un bonus non négligeable, ce qui est surtout intéressant est la qualité immense de ces anciens bouts de verre !